ma vie https://sad41.journalintime.com/ fr 2015-11-04T15:19:00+01:00 https://sad41.journalintime.com/Noble-art Noble art Nous sommes le premier novembre 2015 et le soleil brilles de mille feux. Il fait 21 degrés et je transpire en rangent mon bois dans le jardin. Pour ceux qui connaissent un peu ma vie ou l'on compris dans mes premiers écrits, ma vie n'est pas un long fleuve tranquille et l'on peu même dire qu'elle ne m'a pas vraiment privilégié. Entre les déménagements permanents avec mes parents, les blessures me bloquants à l’hôpital plusieurs mois ainsi que mes erreurs de choix dans ma vie professionnelle, j'ai souvent été mis à rude épreuve. Je vous parlerai surement un jour de ma Nous sommes le premier novembre 2015 et le soleil brilles de mille feux.
Il fait 21 degrés et je transpire en rangent mon bois dans le jardin.

Pour ceux qui connaissent un peu ma vie ou l’on compris dans mes premiers écrits, ma vie n’est pas un long fleuve tranquille et l’on peu même dire qu’elle ne m’a pas vraiment privilégié.

Entre les déménagements permanents avec mes parents, les blessures me bloquants à l’hôpital plusieurs mois ainsi que mes erreurs de choix dans ma vie professionnelle, j’ai souvent été mis à rude épreuve.
Je vous parlerai surement un jour de ma jeunesse comme de mes blessures, mais ce soir j’ai surtout envie de vous parler de ce qui a permis ma renaissance.

Cette renaissance je la dois à mon fils, c’est lui qui m’a emmené dans cette salle aux mur vert et au sol rose qui sentait la sueur et la testostérone.

Depuis tout jeune en regardant les combats de Monsieur bobo Lorcy, de luis acaries, ou les frères Tiozzo, j’avais l’envie d’apprendre ce merveilleux sport.

Malheureusement, mon père ne croyant pas en ma volonté je pense, n’a jamais voulu m’inscrire dans un club.

Je ne lui en veut pas, on a toujours peur de ce que l’on ne connais pas.

Mais un jour, comme un destin, mon fils m’à demandé de l’emmener apprendre à boxer.

Quelle drôle d’impression, cette odeur, cette volonté, ce courage, mais surtout cette tolérance et cette gentillesse.

A force d’allez le voir, j’ai craqué.

Je suis allé voir l’entraîneur et je lui ai demandé si mal grès mon handicap je pouvais mettre les gants et faire un essais.

Sa réponse me motive toujours lors de mes entraînements "mais bien sur, pourquoi tu ne pourrais pas ?"

Et c’est là que j’ai compris pourquoi tu aimais tant ça mon grand !

Cette sensation ! Ressentir cette peur quand on passe dans les cordes pour monter sur le ring.

Se sentir vivant quand on est face à l’adversaire et que l’on sait que la douleur va être présente pour soi comme pour l’adversaire,mais qu’à la fin il y aura un grand respect entre les deux combattants.

Et puis, ces séances de deux heures trois fois par semaine ou il faut surmonter ses douleurs et sa fatigue et frapper, bouger transpirer toujours plus pour toujours progresser.

Et je te regarde boxer mon grand, tu es tellement vaillant, tellement courageux que je suis obligé de supporter mes douleurs et mes handicaps, je suis obligé de me surpasser pour te prouver sans cesse que ton père n’est est un mec courageux et que jamais je ne baisse les bras.

Ce merveilleux sport m’aide tellement au quotidien, j’ai repris confiance en moi, j’affronte les épreuves plus facilement et je ne craint plus l’échec.

J’ai reconstruit mon corps et mon esprit, les douleurs au genou ainsi qu’à la colonne vertébrale on presque disparus, j’arrive maintenant à courir une heure, j’ai même réussis un semi marathon, j’ai aussi repris mes cours pour progresser dans ma carrière professionnelle et j’ai réussis plus rapidement que prévu, si rapidement que je vais prochainement affronter mon second objectif, passer mon prévot fédéral pour enfin enseigner se sport.

Merci mon fils, merci la boxe, merci amis boxeur et adversaire de ring.

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2015-11-04T15:19:00+01:00
https://sad41.journalintime.com/Mon-grand Mon grand Nous sommes le 28 octobre et c'est la veille de tes 18 ans. Et oui, tu es majeure maintenant, le temps passe si rapidement depuis ton arrivée. Tout les moments passés dans la salle d'accouchement près de maman reste gravés dans ma mémoire. J'avais si peur, ma petite femme si chétive allongée sur cette table en train de souffler et de gémir. Elle était si courageuse et si pressée de te voir. Je suivait out de près, je ne voulais rien rater, et je t'ais vu arriver. Mon petit bonhomme qui essaye de sortir comme un apnéiste qui cherche à retrouver la surface pour reprendre Nous sommes le 28 octobre et c’est la veille de tes 18 ans.

Et oui, tu es majeure maintenant, le temps passe si rapidement depuis ton arrivée.

Tout les moments passés dans la salle d’accouchement près de maman reste gravés dans ma mémoire.

J’avais si peur, ma petite femme si chétive allongée sur cette table en train de souffler et de gémir.

Elle était si courageuse et si pressée de te voir.

Je suivait out de près, je ne voulais rien rater, et je t’ais vu arriver.

Mon petit bonhomme qui essaye de sortir comme un apnéiste qui cherche à retrouver la surface pour reprendre l’air.

Tu devais savoir que ta vie ne serait pas facile car tu avait décidé de mettre tes petites mains sur la tête, comme si tu avait peur que l’on te fasse mal.

Tu ne voulais tellement pas sortir que la sage femme a décidé de faire une épisiotomie, c’est là que mes jambes on fléchis.

C’était trop pour moi et j’ai du sortir m’asseoir dans le couloir.

Maman était encore plus forte que moi, elle a supporté ça sans rien dire et tu es sorti sous les pleurs de toute l’équipe.

C’était tellement surréaliste que quand l’infirmière et revenue me chercher, j’ai demandé si tu était bien un garçon et personne n’avait regardé. Ils étaient tous à féliciter maman pour son courage.

Voilà tu étais là ! Qu’est ce que j’étais fière ! Mon garçon était dans mes bras.

Nos début n’ont pas été simple, j’avais peur de te faire mal, de te laisser tomber, je ne te prenais que quand j’étais assis dans le canapé et que maman te posait dans mes bras.

Comme tu l’avais devinais lors de ta venue, dès le début ta vie a été dur, ta première nourrice ne te nourrissait pas et ne changeait pas tes couches. Tu passais tes journées dans un bar à aspirer à plein poumon la fumées des cigarettes.

Puis le temps et les nourrices on changés, nos vies aussi.

Nous sommes arrivés dans cette campagnes beauceronne ou les champs ressembles à la mer et les tracteurs à des bateaux.

C’est là que nous avons connus les pires moments de notre vie, trop de travail, trop de problèmes familiaux, Mais toi qu’est ce que tu as été heureux là bas, avec tes animaux, ta petite moto, et open bar dans les sucreries et dans les bacs de coca.
Mes plus beaux souvenirs de cette vie sont ceux ou tu venais sur mes genoux pour tondre la pelouse et ou je t’entendais rire à ne plus te retenir tellement tu aimais ça.

Puis, heureusement cette mauvaise aventure c’est terminée et nous avons du tout reconstruire.

Nous avions tout perdu, un seul trésor était arrivé au cours de ce mauvais périple, c’était la venue de ma petite princesse.

Nous avons déballés nos valises dans cette petite cabane en bois de 40m2 et il fallait commencer à apprendre un nouveau métier et ce battre avec les créanciers et les tribunaux pour rembourser nos dettes.

C’est vrai que cella a été difficile, mais ce petit chalet était comme ta cabane au milieu des bois, tu avais un si grand jardin et c’était l’endroit ou tu te sentais le mieux.

Tu emmenais ta sœur dans des histoires extraordinaires et vous passiez des journées à construire des cabanes.

Mais c’est là aussi que tes problèmes avec l’école ont commencés.

Nous nous sommes aperçus trop tard de tes problèmes aux yeux, tu étais presque aveugle.

Quand le verdict est tombé, j’ai sentis tout les poils de mon corps ce dresser.

Il a fallu que tu portes des lunettes, ces si grosses lunettes qui ont fait de toi la tête de turc de l’école, tu étais si mauvais en sport, forcement tu ne voyais pas les ballons arriver et tous croyaient que tu le faisais exprès.

Et il a fallu quitter notre petit paradis, notre vie reconstruite, nous sommes arrivés dans le petit village de Sologne au milieu des étangs et de la forêt.

Tes ennuis n’ont pas cessés pour autant, les autres enfants étaient plus grands et plus fort.

Les coups étaient plus fort, les professeurs pas forcement plus compréhensif de ton handicap, ils ne voulaient pas faire de préférences ni d’exception pour un enfant que n’avait rien et qui n’en faisait qu’à sa tête.

Tu as tellement pleuré, j’ai retrouvé tellement de dessin ou de textes ou tu essayés de nous montrer que tu voulais mourir.

Mon cœur c’est tellement serré quand je t’ai surpris une corde autour du coup accrochée à la balançoire.

Et puis tu n’as plus voulu allez à l’école, comment t’en vouloir ?

Tu as préféré commencer le pré apprentissage, quelle bonne idée tu as eu là.

Mais tes ennuis n’ont pas cessés, les insultes et les coups ont continués, je n’ais jamais eu autant envie de tuer quelqu’un que le jour ou tu es entré en pleurs dans la bibliothèque et que tu venais de te faire rouer de coup par une quinzaine de personnes parce que tu refusais de baisser les yeux devant eux.

Nous avons portés plainte, mais rien n’a changé, tu nous a avoué plus tard qu’un des jeunes était venu te choper et t’avais mis un couteau sous la gorge en te disant que si tu portais encore plainte il te saignerais.

L’année suivante, ce jeune ayant était viré du lycée, nous avons crus que tes ennuis cesseraient.

C’est à cette rentrée de septembre que tu as décidé de faire de la boxe.

Mais malheureusement tu n’étais pas au bout de tes peines.

Tu avais tellement peur que je te déposais devant le lycée et je te récupérais le soir 20 mètre plus loin devant mon le siège de mon travail.

Cela n’a malheureusement pas suffit et tu as fini par te faire agresser à nouveau par des amis du jeunes qui voulaient le venger.

Encore une fois les plaintes n’ont servis à rien, et le lycée nous a même demandé si tu n’étais pas le fauteur de trouble.

Avec l’aide de notre médecin tu as quitté l’école le temps d’arriver aux vacances.

Tu es entré au CFA et tu as repris confiance en toi, cette année de boxe passée, tu as commencé à riposter aux coups et à leur montrer que tu n’avais plus peur.

Tu as fini ton CAP haut la main et tu as même décroché une médaille d’argent de meilleur apprenti de France.

Quel pied de nez au profs et aux personnes qui ne croyaient pas en toi.

A force d’aller te voir t’entraîner j’ai fini par te rejoindre et ces années passées avec toi dans la salle ont étés merveilleuses.

Le temps a passé et tu es devenu tellement fort, maintenant tu ne craint plus personne et tu n’as plus à craindre personne.

Notre dernier combat sur le ring me l’a rappelé, tu es bien plus rapide et bien plus endurant que moi.

La boxe est devenue notre passion et notre atome crochu.

Je t’aime mon fils, je suis tellement fier de toi.

Voilà tu as 18 ans et c’est le début de ta vie d’homme, tu vas rencontrer d’autres difficultés, mais je sais que maintenant tu sauras les surmonter.

Sache que temps que nous serons là maman et moi, mais aussi ta soeur, tu pourras compter sur nous.

Tom papa qui t’aime.

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2015-10-28T23:08:00+01:00
https://sad41.journalintime.com/tu-me-manque tu me manque Le temps passe et tu es partie depuis deux ans. Le jour de tes obsèques j'ai tout fais pour être fort, j'ai serré les dents, j'étais le dernier à sortir du crématorium, et quand j'ai regardé la cheminée, je t'imaginais partir dans les nuages. Nous avons passés 43 ans ensemble et quand je pense à toi c'est toujours cette phrase qui me revient en tête "tiens voilà mon gamin". C'est si dur de penser à toi, notre vie n'a pas été un long fleuve tranquille. Notre départ de Belgique a été une sacrée épreuve, ton pays te manquait tellement, ta famille te manquait tellement, Le temps passe et tu es partie depuis deux ans.

Le jour de tes obsèques j’ai tout fais pour être fort, j’ai serré les dents, j’étais le dernier à sortir du crématorium, et quand j’ai regardé la cheminée, je t’imaginais partir dans les nuages.
Nous avons passés 43 ans ensemble et quand je pense à toi c’est toujours cette phrase qui me revient en tête "tiens voilà mon gamin".

C’est si dur de penser à toi, notre vie n’a pas été un long fleuve tranquille.

Notre départ de Belgique a été une sacrée épreuve, ton pays te manquait tellement, ta famille te manquait tellement, notre vie sur ce petit bout de terrain en bordure de forêt était tellement belle.

Mes souvenirs là bas sont des souvenirs de bonheur, même si je sais depuis que pour toi tout n’a pas été toujours rose.

Nous sommes arrivés ce jour de juillet 1980 dans cette banlieue de région Parisienne ou tout nos était inconnu.

Tu étais tellement triste, mais tu ne voulais pas nous le montrer, c’était ta grande force, faire ton possible pour ne jamais montrer ta tristesse.

il y a eu tellement de choses que ce sont passées depuis ces 35 années.

J’aurais surement l’occasion et l’envie d’en reparler, mais pour l’instant, je veux penser à toi.

Toi ma petite maman, c’était tellement horrible de te voir allongée sur ce lit, ton corps inerte, sans vie.

Je sais que je n’ais pas été un fils parfais, mais je n’ais jamais voulu te faire de mal et je n’ai jamais voulu te faire souffrir.

J’ai tellement de regret, mais le pire est celui ou ce mardi tu m’as annoncée ta maladie, tu savais qu’elle allait te détruire et moi j’essayais de te rassurer.

Nous avons parlés des minutes et des minutes, je faisais mon possible pour te rassurer, j’étais tellement triste pour toi et tellement triste pour moi.

J’ai pris conscience ce soir là que j’allais te perdre prochainement et ça m’a fait si mal.

Le bip du téléphone a mis fin à notre conversation, la batterie était au bout et nous devions écourter notre appel.

Ce soir là je t’ais promis de te rappeler le lendemain et de venir te voir le W.E.

Nous nous sommes quittés en nous faisant de gros bisous, si j’avais su que c’était le dernier…

Vers une heure du matin ce fichu téléphone à sonné, la petite voix tremblante de ma sosso m’annoncé ton dernier voyage "Olivier, maman est morte....".

C’était tellement horrible à entendre.

J’ai fait tout ce qui était possible pour être prêt de toi le plus vite possible.

Quel mauvais rêve, je vais me réveiller et tout va revenir comme avant.

Je vais écourter cette pensée que j’ai pour toi, je me sens trop triste, mais sois sur d’une chose ma petite maman
maintenant quand je regarde les nuages, je te vois et j’entends ta voix me dire "tiens voilà mon gamin".

Je t’aimes

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2015-10-25T21:31:00+01:00
https://sad41.journalintime.com/le-jour-suivant le jour suivant 3/27/2012 5:41:26 PM (GMT+1) Et voilà , je reviens vers toi, tu es le seul à qui je puisse raconter mes épreuves sans cris, haine, violence, ou jugements. Le temps est passé depuis notre dernière rencontre, mais les disponibilités au clavier se font rares. Mes fait et gestes sont constamment sous surveillance, et seul quelques soirs, l'excuse du football me permet d'aligner quelques mots au sein de tes pages. Le sentiment de jalousie est épuisant dans un couple, tout les fait et gestes sont épiés. C'est fatigant et lassant de devoir tout expliquer et de se sentir coupable de 3/27/2012 5:41:26 PM (GMT+1)

Et voilà , je reviens vers toi, tu es le seul à qui je puisse raconter mes épreuves sans cris, haine, violence, ou jugements.

Le temps est passé depuis notre dernière rencontre, mais les disponibilités au clavier se font rares.

Mes fait et gestes sont constamment sous surveillance, et seul quelques soirs, l’excuse du football me permet d’aligner quelques mots au sein de tes pages.
Le sentiment de jalousie est épuisant dans un couple, tout les fait et gestes sont épiés.
C’est fatigant et lassant de devoir tout expliquer et de se sentir coupable de choses que l’on a pas faite.

Pour éviter toutes explications, j’ai cédé du terrain au fil du temps et me suis retrouvé prisonnier de ma vie.

Ne pas partir plus tôt, téléphoner dans la journée, ne pas oublier de décrocher et surtout, ne pas rentrer plus tard.

Prier pour qu’il n’y ai pas de bouchons ou d’accidents en rentrant le soir.

Quelle horreur, j’ai honte de se que je suis devenu, je n’ai plus d’amis, encore moi d’amies, plus d’occupations en dehors de mon jardin.

Et tout ça pour ne plus subir les guerres et les cris déjà entendus plus tôt dans ma jeunesse.

Je m’étais promis de ne jamais lui ressembler à se père absent si souvent et si irritable le soir, les verres de pastis ou de whisky aidant.

Je voulais juste une vie calme et paisible, elle est devenue morne et terne.

Sans goûts, comme un plat dont on aurait oublié un ingrédient.

Mon jour suivant est le jour ou je prends conscience de ma douleur, mais vais je changer, il faut que ça change, il faut avancer.

IL faut que ça change, nous avons connus trop de bons et de mauvais moment pour continuer comme ça.

J’ai trop besoin de toi, je t’aime tellement.

Depuis tout petit j’entends dire que l’espoir fait vivre, alors ...

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2015-10-25T20:09:00+01:00
https://sad41.journalintime.com/Les-premiers-pas Les premiers pas Date et heure de publication 3/27/2012 5:36:49 PM (GMT+1) Voilà c'est fait. Je franchis le pas et me lance dans la grande aventure du journal secret. C'est angoissant de laisser des tranches de vie sur la toile d'internet, mais le besoins d'évacuer mes souvenirs est plus fort que la peur d'être lu par d'autres. Je ne sais par ou commencer, alors je crois que je vais simplement débuter par se jour, et l'écriture m'amènera surement à revenir vers le passé. Aujourd'hui, le temps est un temps de mars, avec ses giboulées. Le vent arrive en rafales et il est froid. Nous avons Date et heure de publication
3/27/2012 5:36:49 PM (GMT+1)

Voilà c’est fait.
Je franchis le pas et me lance dans la grande aventure du journal secret.
C’est angoissant de laisser des tranches de vie sur la toile d’internet, mais le besoins d’évacuer mes souvenirs est plus fort que la peur d’être lu par d’autres.

Je ne sais par ou commencer, alors je crois que je vais simplement débuter par se jour, et l’écriture m’amènera surement à revenir vers le passé.
Aujourd’hui, le temps est un temps de mars, avec ses giboulées.
Le vent arrive en rafales et il est froid.

Nous avons commencés à travailler dans notre jardin et préparés les semis dans la serre.

Le tas de bois est rangé et le jardin commence à revivre.

Cette année la terrasse est enfin faite, quel plaisir se sera cet été sous le store de se prélasser dans le bain de soleil.

Nous sommes rentrés la fatigue nous prenant.
Le feu est allumé dans le poel à bois et mon dos me rappelant mes vielles douleurs m’a déposé dans le canapé.
C’est de là que mes surfs sur le net m’ont guidé vers journalintime.com.

J’arrive sur la pointe des pieds dans le monde du journal secret, ce sont mes premiers pas.

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2015-10-25T20:04:00+01:00